Quand la ville ne permet plus l’observation de l’univers, il devient difficile aux citadins d’atteindre les étoiles…

Polluées par des lumières publicitaires inutiles, abimées par des éclairages sécuritaires violents, hypnotisées par des écrans bleutés omniprésents, nos nuits se transforment en vains presque-jours.

Pourtant, la lune, certaines planètes et objets célestes particuliers, doubles ou colorés, sont accessibles à l’œil-nu ou à l’aide d’instruments simples.

Pour peu que l’endroit soit raisonnablement sombre, le moment propice à l’observation, le matériel sur place et le public au rendez-vous, bien sûr !

Bâtir des rêves ensemble, le nez en l’air, c’est ce qu’un compagnon de la Bam nous propose, comme il l’a déjà fait par le passé à Malakoff.

Mais si les obstacles à nos rêves sont nombreux, ils le sont également à l’observation stellaire.

Que l’on vienne dix minutes ou deux heures, l’expérience montre que regarder ce qu’il y a au-dessus de nos têtes et discuter ensemble, parfois même dans le froid, sont autant d’occasions de faire un pas de côté dans un horizon borné à l’immédiat.